La conduite automobile sous l’influence de drogues : recueil d’études de recherche
Sources annotées (suite)
Allemagne
41. Krüger, H., E. Schulz et H. Magerl
« The German roadside survey 1992-1994. Saliva analyses from an unselected driver population: Licit and illicit drugs », dans TS-'95. Proceedings of the 13th International Conference on Alcohol, Drugs and Traffic Safety, 13-18 août 1995, Adélaïde, Australie, Adélaïde, NHMRC, Road Accident Unit, University of Adelaide, 1995.
Aperçu
Enquête routière en Allemagne
Type d’étude, population(s) et fraction contrôlée
Conducteurs stoppés à des postes de contrôle de la circulation par la police
N=12 213 – ont accepté de participer
Délai prescrit pour le prélèvement des échantillons : 1992 – 1994
Seules les données de 1992 ont été analysées (n=2 234)
Drogues examinées (valeurs repères pour détection)
- Cannabis (20 ng/ml)
- Amphétamines (100 ng/ml)
- Opiacés (100 ng/ml)
- Cocaïne (200 ng/ml)
- Benzodiazépines (5 ng/ml)
- Barbituriques (100 ng/ml)
Méthode de dépistage et moyen utilisés
Échantillons de salive
Autres variables dépendantes
Variables pour pondérer l’échantillon de population testé, afin de mieux représenter un échantillon aléatoire de conducteurs (n=30 000) provenant de l’Enquête permanente sur la mobilité : âge, sexe, heure de la journée, jour de la semaine et prévalence de l’alcool
Constatations (y compris méthodes statistiques)
Une fois les résultats pondérés, parmi tous les conducteurs qui avaient pris la route, on en a trouvé 3 % dépistés positifs aux benzodiazépines et 1 % dépistés positifs à des drogues illicites, principalement le cannabis
Environ un tiers de ceux dépistés positifs à des drogues illicites l’étaient aussi à l’alcool.
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