La conduite automobile sous l’influence de drogues : recueil d’études de recherche
Sources annotées (suite)
Belgique
18. Schepens, P. J., A. Pauwels, P. Van Damme, A. Musuku, L. Beaucourt et M. I. Selala.
« Drugs of abuse and alcohol in weekend drivers involved in car crashes in Belgium », Annals of Emergency Medicine, vol. 31, no 5 (1998), p. 633-637.
Aperçu
Étude portant sur des conducteurs blessés en Belgique
Type d’étude, population(s) et fraction contrôlée
211 conducteurs blessés dans des accidents ayant eu lieu durant les fins de semaine en Belgique
Délai prescrit : du 1er juillet 1994 au 30 juin 1995
Temps d’échantillonnage : entre 20 heures le vendredi et 8 heures le lundi
Drogues examinées (valeurs repères pour détection)
- Amphétamines (300 ng/ml)
- Cannabis (50 ng/ml)
- Cocaïne (300 ng/ml)
- Méthadone (300 ng/ml)
- Opiacés (300 ng/ml)
- Propoxyphène (300 ng/ml)
- Sédatifs (barbituriques (200 ng/ml) et benzodiazépines (200 ng/ml))
Méthode de dépistage et moyen utilisés
Prélèvement sanguin pour l’alcool
Dépistage urinaire pour les drogues
Autres variables dépendantes
Constatations (y compris méthodes statistiques)
Résultats positifs de près de 50 % pour les drogues ou l’alcool. Pour les drogues seulement : 7 % de ré sultats positifs
RR pour les conducteurs impliqués dans un accident pendant la fin de semaine et hospitalisés avec un taux d’alcoolémie positif : 1,66
Observations
La consommation de drogue a été ventilée en fonction du nombre de conducteurs
Comme les nombres étaient restreints (de 1 à 6), on n’a pas cité le pourcentage correspondant à chaque drogue dans le document
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